L'Institut Messine est le think tank de la profession de commissaire aux comptes. Il vient de publier une contribution au débat public intitulée « Quelles réformes engager en priorité ? »
L’Institut Messine s’est donné pour mission de réfléchir aux grands enjeux économiques et sociétaux. Il formule puis soumet au débat des idées et des solutions susceptibles de nourrir la réflexion et l'action des décideurs. C’est précisément ce que cette contribution au débat public « Quelles réformes engager en priorité ? » a vocation à faire. Cela à la lumière des deux valeurs qui guident les travaux de l’Institut depuis sa création il y a un peu moins de dix ans : la confiance et la transparence.
Quelles doivent être, au terme d’un cycle d’élections de quatre mois, les priorités du nouveau gouvernement ? Quels chantiers lui faut-il d’abord engager ? Selon quelle méthode doit-il les choisir ? Et, au-delà de chaque texte, quel objectif général doit-il poursuivre pour le pays ?
L’Institut Messine fait le pari de dire qu’arbitrer, choisir, organiser l’action publique n’a jamais été aussi nécessaire, ni prometteur. Alors que vient de s’engager, à la demande du président, un vaste dialogue sur ce sujet dans le cadre du Conseil National de la Refondation (CNR) qu’Emmanuel Macron décrit lui-même comme une consultation nationale très large visant à associer les Français aux grands choix de la nation, il apparaît même plus opportun que jamais de suggérer à l’exécutif, mais aussi bien sûr au Parlement et, au-delà, à l’opinion, des priorités d’action identifiées à partir des critères qui sont fondamentaux. Lesquels ?
L’Institut Messine affirme à l’aide de cette contribution au débat public que restaurer la confiance est aujourd’hui la clé de tout. Et la confiance ne pourra être rétablie que si les chantiers à ouvrir listés (assainir les finances publiques, pérenniser le système de retraite, relancer la mobilité sociale par l’éducation et doper l’appareil productif national) sont présentés à l’opinion puis traités en toute transparence.
Commentaires (1)
Séparer structurellement les professions d'Expert comptable et de Commissaire aux comptes.
Limiter la durée du mandat à trois ans renovelables une fois par professionnel.
Interdire l'exercice de la profession en sociétés de capitaux.
Limiter la détention du nombre de mandats par professionnel à dix.
- Consacrer l' appellation d' Audit au Commissariat aux comptes et en faire l'exclusivité.
Les conséquences attendues:
-La rotation des professionnels.
-La qualité des prestations.
-L' inexistence de la confusion des professions d'Expert comptable et de Commissaire aux comptes.
-Plus de fiabllite des Prestations..
Tang Luc
Membre inscrit de la Cour régionale d'appel du Centre Cameroun.
E-mails: luct4355@gmail.com
Tél: +237699896063